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Les promesses de l’Ouest - 24/05/2016
Depuis plus de soixante-dix ans, l’Afrique de l’Ouest est l’ancrage historique de Sogea-Satom. Jusqu’à un passé récent, l’entreprise y a déployé ses activités traditionnelles : chantiers routiers, travaux hydrauliques, terrassement, génie civil. Elle a renoué ensuite avec l’un de ses anciens métiers, le bâtiment, avec la réalisation du siège social de la Sonidep à Niamey (Niger), et la construction, en cours, du siège social de Bénin Terminal, la filiale locale du groupe Bolloré. Périmètre en pleine croissance, cette vaste zone, qui s’étend du Bénin au Sénégal, en passant par le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée Conakry, le Mali, le Niger et le Togo, permet aujourd’hui à Sogea-Satom de multiplier ses interventions et de proposer des solutions innovantes. De nombreux chantiers en cours • L’entreprise procède actuellement à la construction d’une route de 94 km reliant Témédja à Badou, au Togo, et réalise la station de production d’eau potable de Songon, en Côte d’Ivoire, où elle va également démarrer la pose de 50 km de conduites d’adduction d’eau. Au Bénin, véritable concentré de tous ses savoir-faire, elle mène simultanément deux chantiers routiers, des travaux portuaires et deux projets hydrauliques, auxquels s’ajoute le pont de franchissement sur le fleuve Mono. • Basée au Sénégal, la filiale L.S.E., dédiée aux études et travaux électriques, connaît elle aussi une activité en plein essor sur son périmètre d’intervention : les infrastructures, les sites industriels, le bâtiment et le tertiaire. Son signe distinctif : mener de front des projets de taille modeste, mais nombreux. Elle peut aussi compter sur son principal et fidèle client, la Senelec (Société nationale d’électricité du Sénégal), pour étoffer son carnet de commandes. L’autre atout de L.S.E. est d’exporter ses compétences dans tous les pays où est implantée Sogea-Satom. Des projets de plus en plus complexes La bonne santé économique de la région et sa croissance soutenue ont conduit Sogea-Satom à accélérer son développement en signant, depuis plus d’un an maintenant, des opérations exceptionnelles avec les donneurs d’ordres publics. L’entreprise accompagne également ses clients dans des projets de plus en plus complexes, pour lesquels elle fait appel à toutes les composantes du groupe VINCI. • Au registre de ces opérations, les travaux maritimes figurent en bonne place. En synergie avec Soletanche Bachy, EMCC, Dumez Maroc, ou encore ETF, l’entreprise a notamment procédé à l’extension ou à la réhabilitation des ports de Cotonou (Bénin), Lomé (Togo) et Abidjan (Côte d’Ivoire). • Les échangeurs routiers requièrent la même démarche. À Niamey (Niger), la construction de l’échangeur Diori Hamani, dont les travaux viennent de démarrer, est menée avec l’appui du bureau d’études de VINCI Construction : l’ISC (Ingénierie des structures et des chantiers). Le plus emblématique est probablement l’échangeur Nord de Ouagadougou (Burkina Faso), chantier situé en pleine ville, entre deux barrages, sur une zone en partie marécageuse, qui compte 10 ouvrages importants, dont certains sur fondations profondes et en précontrainte. • Certaines stations de traitement d’eau nécessitent, elles aussi, une approche analogue. C’est le cas de celle de Ziga, dont l’extension, qui permettra de doubler l’approvisionnement en eau potable de Ouagadougou, est réalisée en groupement avec Degrémont. • Parallèlement à ces marchés publics, Sogea-Satom s’est rapprochée d’opérateurs privés comme le groupe Bolloré qui, en plus de son nouveau siège, lui a confié la réalisation de superstructures portuaires à Cotonou, Conakry et Dakar, ou encore d’infrastructures ferroviaires comme à Niamey. En Guinée-Conakry, l’entreprise réalise aussi, pour le compte du géant minier Rio Tinto, une route de 130 km reliant Beyla à N’Zérékoré afin de permettre l’accès au gisement de fer de Simandou. Des financements intégrés Du fait des besoins importants en infrastructures et des capacités limitées des financements classiques, Sogea-Satom propose parallèlement, et de plus en plus souvent, des projets clés en main, de la conception à la réalisation, en passant par le financement. Des perspectives prometteuses Les perspectives sont loin d’être taries pour l’entreprise, qui vise trois sources majeures de développement : l’Afrique de l’Ouest côtière et ses ports, les projets miniers liés à la richesse naturelle de certains sols et l’essor du ferroviaire, qui se pose en véritable alternative au transport routier.
Depuis plus de soixante-dix ans, l’Afrique de l’Ouest est l’ancrage historique de Sogea-Satom. Jusqu’à un passé récent, l’entreprise y a déployé ses activités traditionnelles : chantiers routiers, travaux hydrauliques, terrassement, génie civil. Elle a renoué ensuite avec l’un de ses anciens métiers, le bâtiment, avec la réalisation du siège social de la Sonidep à Niamey (Niger), et la construction, en cours, du siège social de Bénin Terminal, la filiale locale du groupe Bolloré. Périmètre en pleine croissance, cette vaste zone, qui s’étend du Bénin au Sénégal, en passant par le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée Conakry, le Mali, le Niger et le Togo, permet aujourd’hui à Sogea-Satom de multiplier ses interventions et de proposer des solutions innovantes. De nombreux chantiers en cours • L’entreprise procède actuellement à la construction d’une route de 94 km reliant Témédja à Badou, au Togo, et réalise la station de production d’eau potable de Songon, en Côte d’Ivoire, où elle va également démarrer la pose de 50 km de conduites d’adduction d’eau. Au Bénin, véritable concentré de tous ses savoir-faire, elle mène simultanément deux chantiers routiers, des travaux portuaires et deux projets hydrauliques, auxquels s’ajoute le pont de franchissement sur le fleuve Mono. • Basée au Sénégal, la filiale L.S.E., dédiée aux études et travaux électriques, connaît elle aussi une activité en plein essor sur son périmètre d’intervention : les infrastructures, les sites industriels, le bâtiment et le tertiaire. Son signe distinctif : mener de front des projets de taille modeste, mais nombreux. Elle peut aussi compter sur son principal et fidèle client, la Senelec (Société nationale d’électricité du Sénégal), pour étoffer son carnet de commandes. L’autre atout de L.S.E. est d’exporter ses compétences dans tous les pays où est implantée Sogea-Satom. Des projets de plus en plus complexes La bonne santé économique de la région et sa croissance soutenue ont conduit Sogea-Satom à accélérer son développement en signant, depuis plus d’un an maintenant, des opérations exceptionnelles avec les donneurs d’ordres publics. L’entreprise accompagne également ses clients dans des projets de plus en plus complexes, pour lesquels elle fait appel à toutes les composantes du groupe VINCI. • Au registre de ces opérations, les travaux maritimes figurent en bonne place. En synergie avec Soletanche Bachy, EMCC, Dumez Maroc, ou encore ETF, l’entreprise a notamment procédé à l’extension ou à la réhabilitation des ports de Cotonou (Bénin), Lomé (Togo) et Abidjan (Côte d’Ivoire). • Les échangeurs routiers requièrent la même démarche. À Niamey (Niger), la construction de l’échangeur Diori Hamani, dont les travaux viennent de démarrer, est menée avec l’appui du bureau d’études de VINCI Construction : l’ISC (Ingénierie des structures et des chantiers). Le plus emblématique est probablement l’échangeur Nord de Ouagadougou (Burkina Faso), chantier situé en pleine ville, entre deux barrages, sur une zone en partie marécageuse, qui compte 10 ouvrages importants, dont certains sur fondations profondes et en précontrainte. • Certaines stations de traitement d’eau nécessitent, elles aussi, une approche analogue. C’est le cas de celle de Ziga, dont l’extension, qui permettra de doubler l’approvisionnement en eau potable de Ouagadougou, est réalisée en groupement avec Degrémont. • Parallèlement à ces marchés publics, Sogea-Satom s’est rapprochée d’opérateurs privés comme le groupe Bolloré qui, en plus de son nouveau siège, lui a confié la réalisation de superstructures portuaires à Cotonou, Conakry et Dakar, ou encore d’infrastructures ferroviaires comme à Niamey. En Guinée-Conakry, l’entreprise réalise aussi, pour le compte du géant minier Rio Tinto, une route de 130 km reliant Beyla à N’Zérékoré afin de permettre l’accès au gisement de fer de Simandou. Des financements intégrés Du fait des besoins importants en infrastructures et des capacités limitées des financements classiques, Sogea-Satom propose parallèlement, et de plus en plus souvent, des projets clés en main, de la conception à la réalisation, en passant par le financement. Des perspectives prometteuses Les perspectives sont loin d’être taries pour l’entreprise, qui vise trois sources majeures de développement : l’Afrique de l’Ouest côtière et ses ports, les projets miniers liés à la richesse naturelle de certains sols et l’essor du ferroviaire, qui se pose en véritable alternative au transport routier.
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